Cette semaine, le ministre de la santé Budi Gunadi Sadikin aurait ainsi déclaré que l'ouverture des frontières serait possible lorsque 70% de la population cible (208 millions d'Indonésiens) auront reçu au moins une injection de vaccin contre la COVID-19. Selon Reuters, Sadikin aurait expliqué qu'il "s'inspirait de la stratégie adoptée par la Grande-Bretagne, qui a donné la priorité au déploiement des premières doses et a obtenu un taux plus faible d'admissions à l'hôpital et de décès." Selon les calculs des dirigeants du pays, cet objectif devrait donc être atteint d'ici le mois de novembre.
À cette date, les ressortissants étrangers titulaires d'un visa diplomatique, d'un visa social (2 à 6 mois) ou d'un visa de travail (Kitas) devraient donc être de nouveau autorisés à entrer dans le pays. Selon les informations disponibles à ce jour, une vaccination complète et huit jours de quarantaine seront toujours obligatoire pour entrer dans le pays.
Au sujet de la station balnéaire de Bali, Reuters précise qu'aucun calendrier de réouverture n'a été divulgué par le ministre. Si ces nouvelles restent hypothétiques et que seuls les chiffres de vaccination pourront confirmer cette date de réouverture, la nouvelle reste positive : à la fois pour l'état de santé du pays d'Asie du Sud-Est, mais aussi pour les amoureux des vagues indonésiennes.
Image à la une : © Nick Agus / Unsplash
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