Surf - À Lower Trestles, un véritable ballet de puissance, de vitesse et de style

Parce que c'est comme ça que Gary Elkerton, l'éternel second du surf professionnel, définissait le "bon surf".

- @oceansurfreport -


Les spots de Trestles sont au surf ce que la principauté de Monaco est à la Formule 1 : un nid de professionnels. À la seule différence que les surfeurs et résidents californiens n'ont pas élu domicile à San Clemente (Californie) ces dernières années pour le climat ou le confort de vie. Ils y sont nés, et ont décidé d'y rester.

Il y a les locaux - Kolohe Andino, Griffin Colapinto, Ian Crane... - et les expatriés occasionnels qui viennent régulièrement des quatre coins du globe - Filipe Toledo, Josh Kerr, Harry Bryant.. - pour profiter d'un pic comparable à un véritable skate-park et doté d'énormément de possibilités d'évolution.

D'un point de vue technique, cette concentration de surfeurs professionnels sur une batterie de spots étalés sur deux kilomètres fait également des vagues de Trestles les plus relevées des États-Unis. À chaque session, c'est un casting cinq étoiles qui se partage tour à tour les gauches et les droites de Lowers, le pic le plus consistant parmi les Cottons, Uppers, Middles et Church.

Alors quand les houles du Pacifique viennent lécher ce bandeau de littoral, les habitués du spot californien s'adonnent à un véritable ballet. Comme ce fut le cas juste avant l'été dans cette dernière réalisation de Surfer Magazine.

Réalisation : Surfer Magazine

   
Mots clés : lower trestles, power surfing, turn, carve, californie, californien, griffin colapinto, kolohe andino | Ce contenu a été lu 4805 fois.
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