Surf - Quand vient l'heure du Mascaret by Steph

Somewhere, Dordogne (02/03) - Un matin de Février, après une fin de soirée sur Niort, je reçois un appel des potes... ... le mascaret s'annonce parfait ! Matinée calme et ensoleillée en Dordogne, avant le réveil des eaux ! Un coup d'œil sur le net pour voir les horaires de passage, récupération de l'appareil photo sur le trajet et c'est parti ! Arrivé sur place, le temps était effectivement parfait, la douceur d'un 20 degrés sans vent planait au dessus de la Dordogne : coeff de 115, une eau glassy et tout le monde te dit bonjour, chose qui se fait de moins en moins j'ai remarqué !    Mise à l'eau des veinards du jour ! Pendant que tout le monde se prépare, une barque perdue au milieu du fleuve amuse la plupart des spectateurs ainsi quelques surfeurs qui lui rendront visite dans l'eau.   La barque en question, avant d'aller se placer à l'endroit clé du spot... Puis vient le moment d'attendre que l'onde arrive... On m'annonce la couleur, "on ne voit pas arriver pas arriver la vague, elle se lève d'un coup sur un banc de sable avant de continuer sa route, elle est assez puissante pour être surfé en bodyboard et surfboard sur toute sa longueur et surtout, si tu as la chance de chopper l'épaule, tu peux même faire de jolie cut back", m'explique un rider local !   Après le repos, vient l'effort ! Curiosité vite mise en bouche, en effet, c'est incroyable ! la vague se lève d'un coup ! de la même façon que la vague de "wavegarden" , on ne s'y attend même pas !   Seul le paddle a raté la vague, tout le monde s'est bien placé, le vent inexistant nous permet d'entendre les cris et commentaires des surfeurs au loin, "elle va a droite, tous à droite sinon on va se planter". De quoi faire rire les spectateurs. Le reflet des surfeurs sur l'eau durant la session fut un spectacle vraiment joli à voir. L'effet "miroir" sur la Dordogne... C'est une vague magnifique qui se termine toujours avec la vision d'une succession de mini vagues parfaites sur le bord qui en fait toujours rêver plus d'un !   Merci à Stephane pour ce récit ! Texte & photos : Stephane     Powered by Nico