"C'est une claque que je prends à chaque fois que je reviens ici, se retrouver dans ces grands espaces sauvages, c'est unique, intense, on se sent vraiment vivant !"
"Il pleuvait, les vagues qui atteignaient le beachbreak étaient rapides et terminaient souvent en close-outs. Mais quelques bouts passaient", témoigne Alvaro Cobo.
Des surfeurs locaux aux figures de l'industrie du surf portugais en passant par les différents corps de métiers - journalistes, shapers - ils racontent.